En Douce – La grande revue du Casino de Paris (1922)
En décembre 1922, le Casino de Paris rouvre ses portes après un incendie, avec une revue spectaculaire intitulée En Douce, mise en scène par Léon Volterra. Cette production marque un tournant dans l’histoire du music-hall parisien, mêlant luxe, innovation et vedettes.
La revue se compose de deux actes et quarante tableaux, avec en vedette la légendaire Mistinguett, accompagnée de son partenaire Earl Leslie. Le décor est à la hauteur de l’événement : une piscine à parois de verre escamotables est installée sous la scène, offrant des effets visuels inédits.
Parmi les chansons interprétées, on retrouve :
"En Douce" – chanson-titre chantée par Mistinguett
"La Java" – succès dansé et populaire
"Pardon Mam’zelle" – duo Mistinguett & Saint-Granier
"Japanese Lantern’s Blues" – interprété par Bérard et les Mitchell’s Jazz Kings
La revue En Douce incarne l’esprit des années folles, entre audace artistique et élégance parisienne. Elle reste aujourd’hui un symbole du renouveau du Casino de Paris et du rayonnement de la scène française.
En décembre 1922, le Casino de Paris rouvre ses portes après un incendie, avec une revue spectaculaire intitulée En Douce, mise en scène par Léon Volterra. Cette production marque un tournant dans l’histoire du music-hall parisien, mêlant luxe, innovation et vedettes.
La revue se compose de deux actes et quarante tableaux, avec en vedette la légendaire Mistinguett, accompagnée de son partenaire Earl Leslie. Le décor est à la hauteur de l’événement : une piscine à parois de verre escamotables est installée sous la scène, offrant des effets visuels inédits.
Parmi les chansons interprétées, on retrouve :
"En Douce" – chanson-titre chantée par Mistinguett
"La Java" – succès dansé et populaire
"Pardon Mam’zelle" – duo Mistinguett & Saint-Granier
"Japanese Lantern’s Blues" – interprété par Bérard et les Mitchell’s Jazz Kings
La revue En Douce incarne l’esprit des années folles, entre audace artistique et élégance parisienne. Elle reste aujourd’hui un symbole du renouveau du Casino de Paris et du rayonnement de la scène française.
Les fleurs de la nuit
5.00 €